Tarte italienne (370 g) Marie Les Tartes du Monde

Entre un sandwich et une paëlla, je vous propose un produit dont j'attendais beaucoup, vu que j'en aime tous les ingrédients. Au point de l'acheter malgré son prix net, qui est tout de même de nature à faire fuir pas mal d'humains (plus de 4 euros). J'ai nommé cet objet :

(je suis désolée de la qualité des images, ma cuisine est fichue comme l'as de pique quand je n'ai pas d'éclairage de jour)


Donc, le rêve, c'est de la rondelle de tomate cerise fraîche, de la mozzarella délicatement fondue, des blocs de pesto (ça, rassurez-vous, vous les aurez) et une pâte fine et croustillante. Le tout bien équilibré.

Préparation :

Au doigt mouillé, ça me semble faire pas mal de temps, mais bon, on sort du rayon surgelés, alors on y va sans hésiter.


Sortie du carton, on trouve ceci

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais la mozza, je la sens moyennement. Pour les tomates fraîches, guère mieux...

Le tout sur une plaque à pizza (oui, j'ai abandonné dans ce cas précis l'assiette habituelle). Elle fait environ 30 cm de diamètre, pour vous donner une idée.

Sortie du four, on sent comme une réduction du produit (je vous le promets, je n'ai pas changé la plaque, les observateurs auront noté que c'est une Tefal, mais je ne fais pas placement de produit)

Je vous avais garanti (et le visuel aussi) les blocs de pesto, vous les avez. Les tomates fraîches, vous en avez le haut, presque avec le pédoncule. Bon la mozza, c'était écrit...

Le reste, c'est une base de pâte feuilletée. Et dites-vous que le résultat visuel est à peine moindre en termes de massacre que le résultat gustatif (enfin, si on peut appeler ça "gustatif").


Sur ce désespoir alimentaire et financier, je vous laisse avec les valeurs nutritionnelles

Alors, je vous le dis tout de suite, avec 1/3 de la tarte (c'est d'ailleurs la première fois que je vois ce type de calcul par tiers), vous ne faites même pas une entrée (et je ne suis pas du type vorace). Et ça vous pète 331 kcal. Mais bon, le reste tient en gros la route (sauf que ça semble nettement plus salé en bouche que ce ne l'est).

Allez, la paëlla sera mieux !

Le Burger Delicioso (180 g) Charal

Dernier de la trilogie (oui, vous l'avez attendu plus longtemps que Red Dead Redemption), après le Kebab et le Burger Rösti, le Burger Delicioso. Direction donc l'Italie, enfin selon mes espoirs les plus fous.

Plus léger que son ami hivernal, avec seulement 180 g, je manque m'évanouir directement devant le bac de produits frais : pain foccacia OK, mais emmental et sauce moutarde et miel ? Non mais y en  a qui cherchent les ennuis...

Bon, question préparation, on ne se complique pas la vie...

On gagne 20 secondes par rapport à son ami au rösti, mais ce surprenant bruit venant de la Zone 51 ne devrait pas changer (je rappelle pour ceux qui ne suivent pas que ça devait faire "blop").

Là où tout se complique, c'est quand on ouvre la chose (sans se brûler, opération assez complexe dans ce cas, bien que je sois très habituée). Je ne reviens pas sur cette tranche de fromage aux trous résistant à la fonte, dont je n'attendais rien, ni sur cette sauce donc l'onctuosité surmonte 2 minutes à 900 W (là non plus je n'avais aucun espoir), mais tout de même, visuellement, je suis perplexe.

On prend le positif : le pain ressemble vaguement au visuel. Je précise avoir légèrement recadré le burger dans son montage, afin de le montrer sous son angle le plus avantageux.

Pour le pain, j'ai bien dit "vaguement". Y a deux herbes et trois trous, cela fera l'affaire.

Pour le reste, je vous laisse juges

Je vous assure n'avoir rien retouché (et le produit n'était pas en péremption).


Sur ce visuel éloquent, je vous abandonne avec la nutrition (et j'abandonne aussi la marque, parce que cette fois est la fois de trop... et que, au passage, passez-moi la vulgarité, mais c'est absolument dégueulasse).

Allez, next time, deux plats Fleury Michon. Wish me luck !