Allez, après le poisson, on en revient à la viande (un peu), avec le début d'une trilogie de la marque La cuisine d'Océane. Pourquoi trois ? Parce que c'était une offre, et que, par les temps qui courent, un sou est un sou. Donc un plat "offert" est un plat "offert".
Bref, on commence par ce parmentier de canard, que je risque de vous démonter et éparpiller façon puzzle... Je vous précise qu'il se situe au rayon épicerie, à savoir donc ni au frais ni en surgelé, des fois que vous ayez un doute.
Voici le rêve vendu (avec le brin de persil carrément photoshopé, voire pompé dans une banque d'images, ce qui est tout à fait magique, je l'admets)
Vous notez, en bas, la précision "effiloché de canard". C'est vrai que, dans ce plat, j'attendais du rôti de porc, du foie gras et de l'oursin, fort logiquement. Je suis ainsi prévenue à l’avance, pour ne pas en laisser tomber ma fourchette, que c'est du canard. Diantre, quelle audace !
Question audace, je me dis surtout que le dressage façon "tout juste sorti de son cercle", je vais pouvoir l'oublier. Mais je reste confiante et suis évidemment à la lettre le conseil de préparation principal (et de feignasse).
Vous pouvez consommer plus de temps et d'énergie, néanmoins...
Je vous montre tout de même l'objet avant cuisson. C'est beau, hein ? On est presque dans le vintage... Mais tant que c'est efficace, c'est l'essentiel.
Une fois réchauffé et ouvert, ce n'est plus tout à fait la même limonade que le visuel, dirons-nous...
Pour le persil, mais on le savait, merci de faire avec les herbes de votre balcon. Y compris pour celui supposé être dans la purée, vous allez voir.
En revanche, pour le "jus" présupposé vaguement sur le visuel, vous êtes servis...
On est assez proche du fond du fond du tréfond de bouillon (annoncé dans la composition, certes), non ? Mais vous avez des carottes et des oignons, ne vous plaignez pas.
Quoi ? Il y a aussi un peu de canard effiloché, non ? Je vous sens tatillons au fond de la salle, là...
Je vous en mets deux fourchettes, représentatives du ratio (et j'ai été généreuse dans la prise de vue)...
et pour les carottes (qui, pour le coup, ressemblent bien à ce qui vous est promis, on se console comme on peut)
Les deux vous présentant bien ce soyeux persil vert dans cette onctueuses purée.
À noter, hors le visuel : quand je pense qu'il me reste deux variétés à vous exposer, je prends un peu peur, parce que celle-ci est un ratage total en terme de goût.
Bref, on ne s'en va pas sans la nutrition (qui vous affiche un Nutriscore B avec fierté)
Comme souvent, le sel est un peu haut, mais le reste tient la route.
Et rien que pour exercer votre calcul mental, la composition. Celui/Celle qui me calcule 100 % (en considérant que la règle veut qu'on présente les ingrédients par ordre d'importance en pourcentage) veuille bien lever la main...
Je n'ai pas vraiment compris la présence du Porto là-dedans, mais bon...
Allez, avant de prendre en charge le suivant, on va s'offrir une minute d'humour non alimentaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire