Foin de la suite des pizzas et déclinaisons de poulet (rassurez-vous, ça va revenir), on passe au bœuf.
Je vous le pose là tout de suite, malgré mes efforts, il vaut mieux que les âmes sensibles s'abstiennent des visuels de ce billet.
Montré comme ça en première intention, on se voit déjà délicatement attablé à une brasserie, vers le début de l'automne, avec des pommes de terre croustifondantes et un bœuf moelleux bien relevé.
À l'ouverture de la barquette (je précise que c'est issu du rayon frais), un doute s'empare de vous : non mais il ne m'ont pas refait le coup de mélanger la viande et les pommes de terre ? Eh bien si.
Avant cuisson au micro-ondes donc, on se dit que pour sortir une assiette potable (promis, on se forcera à mettre le persil comme des grands), c'est pas gagné.
Notez qu'après ladite cuisson (2 minutes), ce n'est guère plus rassurant
Je vous entends d'ici : non mais soyons sérieux, on voit tout de suite que les pommes de terre sont moelleuses et que la sauce a fondu. Je vous le concède. Mais dans l'assiette, après effort (les pommes de terre se délitant sous la fourchette de service), on a ça.
Je vous promets que j'ai tenté de séparer au mieux les éléments. Glamour, hein ? Et je vous passe que le bœuf est d'une sécheresse sans nom. Oui, je sais, je n'ai pas mis le persil, ce serait tout de suite plus présentable avec. Et la marmotte...
Un détour par la nutrition avant de quitter sans regrets ce produit (qui a pour seul intérêt de n'avoir ni conservateur ni huile de palme)
Je rappelle passage que l'OMS (toujours optimiste il est vrai), recommande de ne pas dépasser les 2 g de sel par jour. Je vous laisse méditer.
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