Poulet un jour, poulet toujours.
On a laissé derrière nous le poulet Tikka Massala, on part cette fois pour un poulet au curry vert, supposé être bien relevé.
Direction donc la Thaïlande
Je ne vous le redis pas, vous êtes habitués (et ça va s'aggraver pour les prochains textes)
À l'ouverture, j'ai comme un doute : c'est Ghosbusters, ce plat ? Non parce que le slime c'est pas trop mon truc... Mais bon, j'ai une pensée pour le pesto, les épinards, la ciboule... et je laisse une chance.
Ce qui est amusant, c'est que pour le duo de riz, j'ai cherché le fameux riz basmati si coloré du Poulet Tikka Massala. Je ne l'ai pas trouvé. Il était tout bien blanc.
Bref, on colle tout ça au micro-ondes, et hop
(Je vous dis que je vais changer d'assiette... Parce que là non seulement noir ça ne va pas, mais il aurait fallu qu'elle soit creuse)
Je tente de vous assembler le tout
La sauce ne manque pas, vous en convenez.
Le poulet, c'est un peu différent. On le sent effacé. Enfin on ne le sent pas. C'est un pauvre filet d'une pauvre bête d'élevage qui n'a pas dû voir la lumière plus de 15 minutes, le temps d'aller à l'abattoir... Et encore, on est vraiment dans un émincé qui ne sert à rien...
Certes c'est assez relevé, et c'est ce qu'on lui demande, mais faire le visuel du plat, c'est délicat. C'est bon, mais c'est moins beau que prévu.
Le final nutrition, pour ne presque pas vous démonter le moral
mercredi 20 mars 2019
Pâtes, poulet et sauce aux champignons (300 g) Toupargel
Le poulet, épisode suivant.
Cette fois on entre dans le surgelé, avec une recette bien classique, qui peut rarement se rater (enfin selon mes goûts, évidemment).
Question préparation, pas plus simple (ce sont des "conseils", mais je pense que c'est très utile de les suivre à la lettre, temps de chauffe inclus)
Avant réchauffage, on a cette chose
La barquette blanche, vous allez la voir pas mal de fois, elle est typique de la marque, et on retrouve exactement la même chez l'ami Picard. Leur fournisseur est sans doute commun (et pas que pour la barquette, je le crains...)
Une fois scrupuleusement préparé, on obtient cela
Mélangé et mis dans l'assiette, pour vous donner une idée de la dose, assez généreuse en effet
Je vous vois venir : mais où est le poulet ?
À droite sur l'image un champignon. À gauche l'ensemble du poulet. Juré je l'ai trié pour vous montrer, sans en manger un morceau avant.
Le champignon avant (une fort belle bête, je vous l'accorde)
Le poulet en gros plan (une plus petite bête, disons-le)
Visuellement on n'est pas très loin du résultat (non, je n'ai pas acquis d'assiette blanche pour coller au visuel promotionnel), en revanche je vous conseille d'aimer les champignons (et pas trop le poulet).
Globalement, c'est plutôt pas mal en saveurs, à condition d'aimer le sel (et pas le poulet... je vous l'avais déjà dit ?). Les pâtes se tiennent très bien par ailleurs, ce qui n'est pas négligeable car elle sont majoritaires dans l'ensemble).
Le plat est à 2,50 €, s'il y a des amateurs.
Hop, une petite note nutritionnelle, qui ne fait jamais de mal à personne
Je rappelle que ce sont les proportions pour 100 g. Le plat en fait 300...
Cette fois on entre dans le surgelé, avec une recette bien classique, qui peut rarement se rater (enfin selon mes goûts, évidemment).
Question préparation, pas plus simple (ce sont des "conseils", mais je pense que c'est très utile de les suivre à la lettre, temps de chauffe inclus)
Avant réchauffage, on a cette chose
La barquette blanche, vous allez la voir pas mal de fois, elle est typique de la marque, et on retrouve exactement la même chez l'ami Picard. Leur fournisseur est sans doute commun (et pas que pour la barquette, je le crains...)
Une fois scrupuleusement préparé, on obtient cela
Mélangé et mis dans l'assiette, pour vous donner une idée de la dose, assez généreuse en effet
Je vous vois venir : mais où est le poulet ?
À droite sur l'image un champignon. À gauche l'ensemble du poulet. Juré je l'ai trié pour vous montrer, sans en manger un morceau avant.
Le champignon avant (une fort belle bête, je vous l'accorde)
Le poulet en gros plan (une plus petite bête, disons-le)
Visuellement on n'est pas très loin du résultat (non, je n'ai pas acquis d'assiette blanche pour coller au visuel promotionnel), en revanche je vous conseille d'aimer les champignons (et pas trop le poulet).
Globalement, c'est plutôt pas mal en saveurs, à condition d'aimer le sel (et pas le poulet... je vous l'avais déjà dit ?). Les pâtes se tiennent très bien par ailleurs, ce qui n'est pas négligeable car elle sont majoritaires dans l'ensemble).
Le plat est à 2,50 €, s'il y a des amateurs.
Hop, une petite note nutritionnelle, qui ne fait jamais de mal à personne
Je rappelle que ce sont les proportions pour 100 g. Le plat en fait 300...
mardi 19 mars 2019
Poulet Tikka Massala et son riz basmati (300 g) Carrefour
Je vous avais annoncé le poulet, vous allez être servis. Sous toutes ses formes (enfin, non, je vous épargne les nuggets)...
On commence par deux produits Carrefour, et on débute par l'Inde. Un Tikka Massala du rayon frais, chopé en date courte.
Je vous offre le mode de préparation, au cas où ceux du fond de la salle n'auraient pas suivi les expériences précédentes...
Avant le four, on jette un œil sur ce à quoi ça ressemble
J'admire sincèrement le transporteur capable de ne pas une minute faire bouger son chargement, afin que le poulet reste plus blanc que blanc devant cette sauce. Le salaire de la peur, à côté, c'est de la dentelle...
Passons au réchauffage
Soit ils cessent les barquettes noires, soit je change d'assiette (vous aurez une cellule psychologique, ne craignez rien)
Le tout mis en place
Alors, contrairement à son collègue le Confit de canard, qui annonce pourtant le même poids de 300 g, dans l'assiette ce n'est pas la même chose, on a du monde (et pas de chaises).
On va passer sur le riz, dont je me demande comment il est aussi jaune tout en étant basmati, si ce n'est par l'extrait de paprika faisant partie de l'immense liste des ajouts (raisins secs inclus), pour en venir au poulet
Je crois que toutes les lessives l'envient... Zéro taches.
Bon, je pense que soit je m'offre une assiette creuse bleue pour tenter de refaire leur visuel avec des morceaux de poulet de cette taille, soit je me dis que... ben c'est à oublier.
À noter pour d'éventuels amateurs : c'est plus sucré que relevé, sans doute à cause des raisins secs et de ce blanc de poulet totalement insipide.
Prix de vente chez Carrefour Market en 2019 (enfin, dans le mien) : 3,91 €. Prix réduit 2,93 €.
Point nutrition :
Et pourtant, ce n'est pas salé en bouche...
On commence par deux produits Carrefour, et on débute par l'Inde. Un Tikka Massala du rayon frais, chopé en date courte.
Je vous offre le mode de préparation, au cas où ceux du fond de la salle n'auraient pas suivi les expériences précédentes...
Avant le four, on jette un œil sur ce à quoi ça ressemble
J'admire sincèrement le transporteur capable de ne pas une minute faire bouger son chargement, afin que le poulet reste plus blanc que blanc devant cette sauce. Le salaire de la peur, à côté, c'est de la dentelle...
Passons au réchauffage
Soit ils cessent les barquettes noires, soit je change d'assiette (vous aurez une cellule psychologique, ne craignez rien)
Le tout mis en place
Alors, contrairement à son collègue le Confit de canard, qui annonce pourtant le même poids de 300 g, dans l'assiette ce n'est pas la même chose, on a du monde (et pas de chaises).
On va passer sur le riz, dont je me demande comment il est aussi jaune tout en étant basmati, si ce n'est par l'extrait de paprika faisant partie de l'immense liste des ajouts (raisins secs inclus), pour en venir au poulet
Je crois que toutes les lessives l'envient... Zéro taches.
Bon, je pense que soit je m'offre une assiette creuse bleue pour tenter de refaire leur visuel avec des morceaux de poulet de cette taille, soit je me dis que... ben c'est à oublier.
À noter pour d'éventuels amateurs : c'est plus sucré que relevé, sans doute à cause des raisins secs et de ce blanc de poulet totalement insipide.
Prix de vente chez Carrefour Market en 2019 (enfin, dans le mien) : 3,91 €. Prix réduit 2,93 €.
Point nutrition :
Et pourtant, ce n'est pas salé en bouche...
Canard confit Écrasé de pommes de terre Crème aux cèpes (300 g) Marie
Ne m'en veuillez pas, je fus légèrement occupée. Du coup, j'ai tout une pile de produits qui attendent. Enfin, disons que leurs emballages encombrent ma bibliothèque. De ce fait, ça risque d'être un peu en vrac...
On commence par un plat dans lequel je plaçait tous mes espoirs. En même temps, ce n'est pas non plus de la cuisine transgressive, hein : confit de canard et pommes de terre en écrasé.
Question préparation, on ne change rien (surtout quand on est pressé et pas assez sot(te) pour mettre ça dans un four traditionnel)
Hors du carton, ça vous donne ça
J'opte pour le four à micro-ondes (temps un poil plus court pour mes classiques 900 W), et hop :
Oui, je sais je suis méchante, c'est sans le touillage. Mais ça nage quand même, cet écrasé... Et je vois mal mon confit de canard.
Là, c'est de plus loin, donc ça va mieux. Quoi que...
Je vous ai fait un zoom parce que je vous sentais un peu déprimés devant la quantité. Je vous assure que je n'ai rien mangé avant les photos.
On commence par un plat dans lequel je plaçait tous mes espoirs. En même temps, ce n'est pas non plus de la cuisine transgressive, hein : confit de canard et pommes de terre en écrasé.
Question préparation, on ne change rien (surtout quand on est pressé et pas assez sot(te) pour mettre ça dans un four traditionnel)
Hors du carton, ça vous donne ça
J'opte pour le four à micro-ondes (temps un poil plus court pour mes classiques 900 W), et hop :
Oui, je sais je suis méchante, c'est sans le touillage. Mais ça nage quand même, cet écrasé... Et je vois mal mon confit de canard.
Là, c'est de plus loin, donc ça va mieux. Quoi que...
On mélange et on met le tout dans l'assiette
Je vous ai fait un zoom parce que je vous sentais un peu déprimés devant la quantité. Je vous assure que je n'ai rien mangé avant les photos.
Mais bon, soyez optimistes : la canard est bien confit
Et la pomme de terre est bien en écrasé
Question rendu du visuel pour la viande, ce n'est pas le top, mais globalement on a vu nettement pire (retirez-leur Photoshop).
Une petit détour par la nutrition (pas retouchée)
Et je vous le confirme, c'est très salé en bouche. Mais bon, avec une viande confite c'est peu étonnant.
Bref, avec un peu de soin, c'est assez proche du visuel. Canard français au passage.
Mais dans les 4 euros les 300 g, ce n'est pas non plus le Nirvana.
La suite sera au poulet !
Bref, avec un peu de soin, c'est assez proche du visuel. Canard français au passage.
Mais dans les 4 euros les 300 g, ce n'est pas non plus le Nirvana.
La suite sera au poulet !
mardi 5 février 2019
Coq'Ailes Herbes de Provence (250 g) Maître Coq
Revenant ponctuellement à mes amours pour le poulet (et au détour d'un offre de produit en fin de vie), je vous propose les CoQ'Ailes de Maître Coq. En gros, ce sont des wings, comme dans votre fast-food habituel, mais ici les herbes de Provence m'ont attiré l'œil.
Cela se présente bien dodu, bien herbé, calibré du genre poulet issu du rang (pas une tête qui dépasse)... Je suis quand même dubitative.
Volaille française, c'est acquis
Proposés sous sachet et précuits, l'éventail des modes de préparation me perd dans un abîme de perplexité... Que choisir ?
Je vous précise que vous pouvez aussi les manger froids. Inutile de dire que c'est pour ma part mort directement.
Je décide cette fois de passer l'objet du délit au four (puisque c'est "encore meilleur", et que je tiens à vous rendre rendre compte du top de la recette).
Je place donc les manchons sur une plaque (c'est du 36 x 21 cm, en gros). Et là, je constate qu'il ont dû abattre des poussins par erreur (pauvres bébés)
Les manchons taille adulte (avant cuisson)
Et les petits pious (avant cuisson)
Bien que mon éclairage de nuit soit assez désavantageux, on est quand même très loin du blond doré du visuel. Je colle cela au four et hop...
Donc pour une ou deux personnes. C'est pas des caisses, quand même. Et c'est très foncé (et là l'éclairage n'est pas totalement à blâmer, c'est vraiment très sombre, la faute aux herbes sans doute).
Pas grave, je vous dépiaute la chose :
(Oui, je suis consternée, c'est flou). En termes de chair, c'est correct. Enfin, pour qui en a un peu...
Sur les poussins, forcément, c'est moyen.
Bon, vous non plus vous n'y avez pas cru une seconde au visuel tellement photoshopé que ça ferait se marrer un poulailler ? Non, hein. Mais pour le reste, c'est cohérent. Et les herbes ne sont pas là pour la figuration : au goût, c'est assez puissant, il faut aimer.
On finit avec les apports nutritionnels
Précision : c'est calculé avec le poids de l'os, mais vous ne le mangez pas... Vous suivez, au fond de la salle ? En gros, comptez au moins 30 % de poids en os, donc vous avalez seulement 70 g de viande, mais autant de calories et de sel. Ce qui fait quand même pas mal...
Prix (2019) constaté : 2,75 € (je l'ai eu à 2,06 € en date courte, tarif qui me semble bien plus raisonnable)
Cela se présente bien dodu, bien herbé, calibré du genre poulet issu du rang (pas une tête qui dépasse)... Je suis quand même dubitative.
Volaille française, c'est acquis
Proposés sous sachet et précuits, l'éventail des modes de préparation me perd dans un abîme de perplexité... Que choisir ?
Je vous précise que vous pouvez aussi les manger froids. Inutile de dire que c'est pour ma part mort directement.
Je décide cette fois de passer l'objet du délit au four (puisque c'est "encore meilleur", et que je tiens à vous rendre rendre compte du top de la recette).
Je place donc les manchons sur une plaque (c'est du 36 x 21 cm, en gros). Et là, je constate qu'il ont dû abattre des poussins par erreur (pauvres bébés)
Les manchons taille adulte (avant cuisson)
Et les petits pious (avant cuisson)
Bien que mon éclairage de nuit soit assez désavantageux, on est quand même très loin du blond doré du visuel. Je colle cela au four et hop...
Donc pour une ou deux personnes. C'est pas des caisses, quand même. Et c'est très foncé (et là l'éclairage n'est pas totalement à blâmer, c'est vraiment très sombre, la faute aux herbes sans doute).
Pas grave, je vous dépiaute la chose :
(Oui, je suis consternée, c'est flou). En termes de chair, c'est correct. Enfin, pour qui en a un peu...
Sur les poussins, forcément, c'est moyen.
Bon, vous non plus vous n'y avez pas cru une seconde au visuel tellement photoshopé que ça ferait se marrer un poulailler ? Non, hein. Mais pour le reste, c'est cohérent. Et les herbes ne sont pas là pour la figuration : au goût, c'est assez puissant, il faut aimer.
On finit avec les apports nutritionnels
Précision : c'est calculé avec le poids de l'os, mais vous ne le mangez pas... Vous suivez, au fond de la salle ? En gros, comptez au moins 30 % de poids en os, donc vous avalez seulement 70 g de viande, mais autant de calories et de sel. Ce qui fait quand même pas mal...
Prix (2019) constaté : 2,75 € (je l'ai eu à 2,06 € en date courte, tarif qui me semble bien plus raisonnable)
lundi 4 février 2019
Cannelloni ricotta et épinards, sauce tomate (350 g) Picard
Le voici, le voilà, le dernier membre de la bande à Picard.
Je vous avais proposé les raviolis aux épinards et les gnocchis au chèvre et épinards (c'est vous dire si j'aime les épinards), eh bien cette fois, on passe aux cannellonis... aux épinards. Oui, mais avec de la ricotta, ne venez pas chipoter, je varie mes choix.
Proposé en barquette, comme les autres plats individuels de la marque, il est un peu plus massif : 350 g au lieu de 300. Bon, je me dis tout de suite que ça va faire beaucoup pour moi, mais on peut sans doute segmenter, hein ?
Visuellement, c'est beau, sobre, italien, sans chichis (notez que le plat n'est pas inclus dans cette gamme, bien qu'il le soit sur d'autres produits). Et il convient aux ovo-lacto-végétariens (ceux qui ne mangent ni viande ni poisson, mais le reste).
Proposé en barquette, comme les autres plats individuels de la marque, il est un peu plus massif : 350 g au lieu de 300. Bon, je me dis tout de suite que ça va faire beaucoup pour moi, mais on peut sans doute segmenter, hein ?
Visuellement, c'est beau, sobre, italien, sans chichis (notez que le plat n'est pas inclus dans cette gamme, bien qu'il le soit sur d'autres produits). Et il convient aux ovo-lacto-végétariens (ceux qui ne mangent ni viande ni poisson, mais le reste).
En termes de préparation, c'est comme d'habitude : je suis disciplinée, et toujours fidèle à mon principe : cette chose au four traditionnel, jamais sans mon extincteur. Donc, je suis les consignes (et je vous précise que, sur le coup, le temps est à respecter scrupuleusement : j'ai fait quelques tentatives de sortie du four avant, mon four ayant tendance à m'imposer une réduction du temps, rien à faire, c'est 7 minutes).
Voici donc l'objet avec son film (que vous allez bien penser à retirer, pas simplement à percer)
Et sans. Vous constatez comme moi que la répartition du fromage est inégale, et la quantité moins généreuse que prévue. Cela dit, un bon réchauffage fait parfois des miracles.
7 minutes plus tard, je vous dépose le tout dans l'assiette. Je n'ai pas (pour le moment) déconditionné, pour que vous voyiez la taille de la barquette, et pour pouvoir éventuellement en garder dans ladite barquette.
De plus près, c'est vraiment joli, même si le fromage est en effet moins généreux que présenté sur le visuel. Et question odeur, il faut avouer que ça donne bien envie (gros avantage du plat sur le carton, vous me l’accorderez).
Je vous en propose la moité dans l'assiette (il y a bien 4 cannellonis sous la sauce, qui se détachent parfaitement, la pâte étant restée al dente (condition sine qua non pour que je considère l'objet, sinon j'intente un procès à la marque).
Comme vous le voyez, c'est déjà bien copieux. La garniture est nettement visible, la sauce pas liquide façon coulis délayé, et même le fromage est filant malgré sa (presque) rareté. Très honnêtement je suis de mauvaise foi, avec la quantité de ricotta, il suffit largement...
C'est beau comme un visuel contractuel (et je vous assure, je n'ai pas forcé).
La mort dans l'âme (mais c'est pour vous...) je vous en dépiaute un...
La garniture est généreuse, autant en fromage qu'en épinards (bien que leur goût ne soit pas agressif), la pasta ne se démonte pas comme une lasagne surcuite entrée de gamme, bref, c'est le top.
Du coup, pour fêter ça, je vous en offre une dernière ( je vous promets que la branche verte n'est pas de moi !). On voit bien également la purée de tomate, avec de gros morceaux.
Certes c'est un peu plus plat que sur le visuel, mais il faut voir que j'en ai extrait seulement deux (qui ont tenu le coup), sans ménagement, sur une assiette.
Si vous voulez casser les pieds à tout le monde, vous me direz que le visuel montre des cannellonis rangés dans la longueur du plat (et non, comme ici, dans sa largeur). Réponse : sortez-les encore congelés de leur barquette, déposez-les dans un plat de dimensions idoines, et passez le tout au four.
À ce point près, c'est réellement le genre de plat pour lequel on se dit : "Bon, de toute manière ça ressemblera à rien", et qui est à 9/10 son visuel.
Pastille à titre informatif : sur les 4, qui sont quand même bien copieux, j'ai eu le malheur de vouloir en réchauffer un le soir. Mal m'en a pris, c'était bien trop sec. Donc si vous avez un petit appétit, soit vous coupez en deux avant cuisson et gardez le reste au congélateur, soit vous invitez un(e) ami(e).
Même si c'est excellent, on ne repart pas sans les informations nutritionnelles :
Alors oui, forcément, si vous commencez par une tomate mozza et terminez par un tiramisu, le repas du soir sera complexe... Cela dit, je me répète, c'est correct pour deux personnes si vous avez une salade à côté. Pour le sel, c'est toujours en haut de la tranche, mais pour moitié de la portion on a vu pire.
Bref, pour moi, un produit qui ressemble à sa promesse (visuellement et gustativement).
Vendu (prix 2019) 3,30 euros
Inscription à :
Articles (Atom)